De Loveless? Pas vraiment,mais de la pin-up recto-verso,ça oui.J'ignorais moi aussi ce détail croustillant.Cette mentalité d'épicier n'était pas le coté le plus interessant du personnage.
Tout prix devient justifiable, au moment où quelqu'un met l'argent sur la table et ce Loveless-Johnson partira à coup sûr. Ce n'est pas plus injustifiable qu'un tableau de Basquiat à 5 millions de dols, etc... Cela dit, je n'aime ni Loveless, ni Johnson, ni Basquiat...