Bon, grille de lecture simplifiée des résultats :
252 à 416 :
Implication minimale, le sujet est soit jeune soit influençable et se laisse entraîner avec une conviction moyenne par un mentor ou une idole, acteur majeur dans une discipline connexe à la coutellerie (nature, survie, chasse, pêche, tir à l'arc, art de la table, forgeron, maréchal ferrant). Le retour à la normale est possible à tout moment par simple éloignement de la source contaminante.
417 à 460 :
Phase d'incubation sournoise : le sujet est atteint mais ne s'en rend pas encore compte, quoique son humeur en soit déjà affectée. Bien qu'il s'en défende, son implication est trop importante déjà pour un retour à la normale, sauf choc émotionel profond (licenciement, séparation, etc. …).
461 à 486 :
Pleine mesure de la cultero-dépendance : activité coutelière soutenue quelques soient les moyens financiers du sujet, quite à s'endetter ou à faire soi-même.
Même après un traumatisme sévère, l'addiction récidive.
487 à 540 :
La cultéro-dépendance devient une cultero-mania, jonchée successivement de phases dépressives, hystériques, paranoïaques, pleines d'épanchements verbaux de toutes sortes, la susceptibilité coutelière est à fleur de peau, particulièrement dans les discussions spécialisées.
Toute la vision de la vie du sujet passe par le filtre du monde de la coutellerie, aucune rémission n'est plus possible.