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Aussi moi.

Qu'est ce que vous allez foutre d'un couteau qui ouvre à moitié ?
Vous êtes des geeks !

Ben, partant du principe qu'un couteau ne sert à rien, le fait d'en avoir un qui n'ouvre qu'à moitié, ça nous rapproche d'une certaine forme de cohérence...

Rouge a écrit:- Jonathan P.
- Rouge
-

Ça aurait été avec plaisir mais je n'en ai qu'un. La photo est celle que m'avait envoyé le vendeur.

freddy1 a écrit:Qu'est ce que vous allez foutre d'un couteau qui ouvre à moitié ?
Vous êtes des geeks !

Oui mais nous ils sont conçus comme ça

Uhuh.

Rouge a écrit:De l'allemand :

ahhhhh souvenirs , comme l'armée française nous avait dotés généreusement de... rien (what else ?) , on allait chez les germains ( et chez les ricains aussi) chercher notre bonheur.

Autour de l'étui en métal alu on mettait une chaussette ou du sparadrap pour éviter le bruit.

ELDE

Déjà évoquée, pas encore postée, la dague Fairbairn-Sykes des commandos anglais, puis français (formés à leur création en Écosse) :

Le texte est celui du vendeur :

" Couteau d’aviation de la NAZ du personnel de vol de l’armée de l’air de l’URSS. URSS des années 80. En URSS, jusqu’aux années 1980, les pilotes, y compris ceux qui exerçaient des fonctions internationales, n’avaient pas de couteau régulier, se contentant soit de modèles de production ordinaires, soit de produits faits maison. Ce n’est qu’en 1983, au plus fort de la guerre en Afghanistan, qu’un modèle pliant a été développé pour fournir des pilotes de l’armée de l’air, qui a été produit jusqu’en 1991. Conceptuellement, il ressemblait à un couteau pliant de ferme américaine utilisé pendant la Seconde Guerre mondiale.

La différence n’était que dans la disposition: le couteau était à un seul canon et deux éléments: la lame avec une pince et une scie avec un tournevis ont été montés d’un côté (d’un côté), et le support pour la sangle de sécurité de l’autre. La scie métallique avait deux rangées de dents (pour couper la peau duralumin d’un avion et du plexiglas), un tournevis à fentes et une rainure pour tirer vers le haut divers laçage. Répond aux exigences élevées de l’acceptation militaire pour la qualité. La rigidité structurelle est assurée par des revêtements en acier inoxydable, 5 broches croisées rivetées et l’ajustement manuel de précision des pièces. La scie est un moyen de survie indispensable pour les pilotes, elle a été développée et testée sur la peau de l’avion, ainsi que pour assurer la survie du pilote après l’éjection, sur le bois et l’os. Sur le dos de la poignée du couteau il ya une saillie du verrou pour plier la lame.

La lame du couteau a des descentes concaves. Il y a un tournevis à fentes plate à la fin du fichier. Poignées de doublure en PCB. Ce n’est pas une arme froide. Longueur du couteau: 205 mm. Longueur de la lame: 85 mm. Largeur de la lame (Max.): 15 mm. Épaisseur du cul : 2,8 mm. Longueur du bâton: 120 mm. Largeur du bâton: 20 mm. Épaisseur du bâton: 20 mm. Matériel de poignée : textolite. "

J'aime beaucoup le côté détournement pour le matériau des plaquettes.
Un micarta qui servait pour des pièces mécaniques et de l'isolation électrique.

réglementaire pour moi

Rouge a écrit:Le texte est celui du vendeur :

[i]" Couteau d’aviation de la NAZ

Moi je lis ça et déjà je

uhuh, carrément.