J’ai longtemps pensé que le couteau militaire suisse modèle 1961 que j’achetais avec le poinçon dans les années 70 était l’outil ultime... Petit à petit d’autres outils universels (avec une lame cachée quelque part) sont venus s’y joindre. Plus récemment sont arrivés de purs couteaux.
Aujourd’hui, j’ai un petit faible pour les pliants industriels avec un look pas trop agressif comme les Native de Spyderco (j’assume mon choix : il y a un trou dans la lame et ce ne sont pas des Delica). En même temps, un petit faible, ce n’est pas de l’exclusivisme.
Les aciers de fou m’amusent mais le kirouille conserve son charme.
Quant aux vrais artisanaux, c’est une pente glissante à aborder avec précaution...