Hubert T. a écrit:HAGAKURE a écrit:Hubert T. a écrit:C'est beaucoup trop long. Tu peux faire ça plus court ? Ou sous forme d'une vidéo de 4min max ?
Merci par avance.
J'y compte bien... ouais sortir un truc plus frais, plus lisible.
mais c'est mon premier, pardonne moi monseigneur.
PS : n'hésitez pas
les modos, si besoin de rectifier le post.
Je déconnais, mec, c'était juste de la jalousie.
J'ai pas eu le temps de finir mais de ce que j'ai lu, c'est un super travail.
Au nom de tous, merci.
Désolé j'me cite, mais j'étais saoul quand j'ai écrit ça. C'est un peu trop lisse, j'ai l'impression de vous lire, et ça m'emmerde. Pas de vous lire, hein. De me lire quand ça vous ressemble... ce qui en soi revient au même.
Non que je ne sois plus saoul, mais je n'ai plus rien à boire (j'ai bien retrouvé un fond de bouteille de whisky sous un meuble, mais c'était pas lerche), et je me retrouve en pleine conscience lucide. Sorte de lumière que j'ai plein la gueule et qui devrait m'éblouir mais au lieu de ça, ne me fait que me rendre compte que c'est chiant,
les félicitations vides de sens. Comme une pipe forcée. Ca fait toujours du bien à l'égo, mais de là à dire qu'on a pris son fade, y'a un gouffre plus large que le trou de .45 de Abidon quand j'suis allé boire un godet chez lui. Je me dois de rectifier.
Donc c'est vrai que c'est un beau turf, ce que tu nous a fait là, mais tu serais gentil d'user de la fonction "éditer" qu'est (bizarrement) plus à ta disposition après un certain temps temporellement court pour corriger
les fautes de frappe. Merde quoi, t'aurais pu te relire, avant ! Ca t'a pris quoi... Deux heures, de pondre ça ? Dis minutes de plus, c'était trop demander ? Merde.
Merde surtout parce que le truc du bouchon, je connaissais pas, et du coup, t'ébranles mes certitudes. Bientôt, tu vas tellement
les ébranler que tu vas me plaire et on va supprimer l'"é". T'auras l'air malin. Et moi, je deviendrai la déception de toutes ces jeunes filles qui me veulent et que je ne pourrai plus honorer, tout obnubilé par toi que je serai. A quoi ressemblera ma vie, après ça ? La cavalcade au cul d'un sombre autiste du caillou ? Tu parles d'un apogée (vous fiez pas au "e", apogée, c'est masculin, comme tout
les trucs qui causent d'aboutissement ; Maria, le prends pas mal, l'aboutissement, ce n'est ni plus ni moins que la fin des choses, baignée de succès, je te l'accorde, mais la fin quand même, qui précède le terrible gouffre de l'inconnu et du renouveau, et nous,
les hommes, on n'est pas fait pour supporter ça. Te sens pas heurtée dans ton féminisme, surtout ; finalement, l'histoire de la rivalité homme / femme, ça n'est que l'histoire du lièvre et de la tortue. On est manifestement toujours meilleurs, mais pas longtemps, j'en veux pour preuve la durée des rapports sexuels de Freddy)… pardon, je digresse... je disais, tu parles d'un apogée. Je ne serai plus bon qu'à revêtir l'habit du bel homme démis de ses fonctions de grand homme en devenir. Désolé, mais je ne peux pas faire. Et quand bien même je voudrais, je ne sais pas. Je ne pourrai te suivre, toi et ton balluchon lesté de kilos de
pierres, je ne serai pas le sherpa du martyr que tu es. Où on viendrions nous ? Faudrait-il alors hiérarchiser
les hommes dans l'ordre inverse de leurs mérites ?
Restons-en là, si tu veux bien. J'ai besoin de mon indépendance. Si tu ne peux pas adhérer à l'Amour ténu d'une nuit comme je te le propose, je ferme
les vannes de ma sensibilité et j'en reste là.
Ne sois pas malheureux, il ne pouvait en être autrement.