J'ai reçu la semaine dernière 4 nouveaux Alpins.
Les voici présentés sous mon Chevalerias emmanché de buis :
On a de haut en bas un Pradel manche noir-orange en bakélite ou assimilé, un Pradel manche bois, un Alpin Coupe Toujours qui pour moi est le plus beau de la bande et un J. Robin qui est un genre de croisement entre l'Opinel et l'Alpin (il a un plein manche, donc pas de platines, une virole à la place de la mitre et un ressort interne fixé par un rivet traversant au bout du manche). Les trois derniers sont neufs, oui anciens mais neufs.
Les deux Pradel. Celui avec un manche bois a une bélière qui semble en laiton, tandis que l'autre, en bakélite ou celluloïd, a une bélière en alu ou en fer blanc.
Le Robin, souvent présenté comme un clone d'Opinel, ce qu'il n'est pas à mon avis malgré sa virole arrondie, et l'Alpin Coupe Toujours qui a été déniché par ma chère frangine mercredi dernier dans une coutellerie lotoise où il devait attendre un acheteur depuis 30 ou 40 ans. C'est une vieille marque thiernoise qui a commencé les Alpins vers 1908 (selon
http://www.coutelleriegrenoble.com/couteau%20alpin.html). Leur modèle est bien fini, avec une belle lame dotée d'un faux contre-tranchant peu visible sur la photo, lame plus large que sur les autres et rappelant celle de l'Opinel. Il est doté de belles plaquettes de bois rouge ce qui est une des caractéristiques de ce couteau. J'en suis hyper content.
Coup de zoom sur le bout, fendu, du manche du J. Robin où on aperçoit le ressort.