C'est pourtant lui qui est hypnotisé.
Le truc en cuir, c'est un presse-papier ou un presse-cuir, selon ce que j'ai envie de trafiquer.
En tout cas, quelque chose de lourd qui ne risque pas de faire des marques sur son support.
Pour ce faire, j'ai détourné un bloc de fonte qui servait à stabiliser de l'intérieur la base d'une lampe de bureau (ça me dépasse qu'on puisse faire des lampes avec un super éclairage, une super stabilité, et que tout le reste de la lampe ne soit pas à l'avenant, c'est-à-dire pas franchement costaud.
Bref.).
Le premier truc cool, c'est que les espaces ménagés sur le bloc pour la visserie ont donné un moulage du cuir façon Uluru.
Le deuxième truc cool a été un nouveau délire : le "repoussage" avec des objets "remarquables"
que j'avais ramassés en baladant (cailloux, pommes de pin, etc.). Rien de figuratif, cette fois, parce que je l'aurai sous les yeux pendant mes gribouillages ou barbouillages.
Le troisième : la couleur, comme d'hab'.
J'avais envie de couleurs chaudes : selon l'éclairage, elles varient presque comme celles d'Uluru, justement (pas aussi rouges, quand même).
D'abord, quelques détails de la chose :
La chose dans son entier :
Qu'est-ce qu'on en dit ?