

giom a écrit:Bon, j' avoue que j' ai pas le cardio et la patate de SOD


 
 

tobob a écrit:Tas d'lopettes...
Bidon, on ira se rouler dans la neige tout les deux.


freddy1 a écrit:je te rappelled



abouaswad a écrit:je suivrai ça depuis mon hamac en sirotant un cocktaïle

 
  

 . Ensuite la traversée sur la crête: c'est une crête certes, mais il n'y a pas d'espaces ouverts, forêt et caillasse. En raquettes la première partie est injouable,  trop de pente, trop de dévers, trop de pas d'escalade. La crête sauf avec beaucoup de neige (mais dans les bois c'est rare) ça ne le fera pas non plus: pieeriers, arbres tombés, ronces. La crête est longue, je me suis fait avoir à chaque fois en croyant toucher au but, ben non en fait tu marches encore une bonne heure. Et à chaque fois j'ai dû cherché mon chemin. Je dirais "plusieurs heures". En revanche bivouac grand confort le soir. Le lendemain descente à pic dans la vallée, descente d'une rivière, pareil casse gueule tout du long, mais en descente donc ça va. En revanche c'est assez long, mais c'est fun, il y en a forcément un qui va passer à la baille. Pause aux cascades, superbes. Redescente dans le lit plus plat (la photo de Mme PH et ses hauts talons), plus belle montée sur un flanc de vallée et relongue traversée jusqu'à une petite falaise, site d'escalade. Au repos là si je me souviens bien personne ne parlait beaucoup. Il y a dans cette partie pas mal de route à faire, et si on se rapproche trop de la rivière on se retrouve sur des falaises d'une centaine de mètres qui la surplombent. Seul ça passe, à 15 ça le fera pas, donc là aussi faut pas mal chercher son chemin. Puis on traverse la rivière, montée tranquille de trente minutes à l'entrée de la Combe Noire, où il faudra trouver un bivouac. Pas facile, c'est pas large, ya des cailloux comme des maisons, c'est humide au fond, on dormira... mal
. Ensuite la traversée sur la crête: c'est une crête certes, mais il n'y a pas d'espaces ouverts, forêt et caillasse. En raquettes la première partie est injouable,  trop de pente, trop de dévers, trop de pas d'escalade. La crête sauf avec beaucoup de neige (mais dans les bois c'est rare) ça ne le fera pas non plus: pieeriers, arbres tombés, ronces. La crête est longue, je me suis fait avoir à chaque fois en croyant toucher au but, ben non en fait tu marches encore une bonne heure. Et à chaque fois j'ai dû cherché mon chemin. Je dirais "plusieurs heures". En revanche bivouac grand confort le soir. Le lendemain descente à pic dans la vallée, descente d'une rivière, pareil casse gueule tout du long, mais en descente donc ça va. En revanche c'est assez long, mais c'est fun, il y en a forcément un qui va passer à la baille. Pause aux cascades, superbes. Redescente dans le lit plus plat (la photo de Mme PH et ses hauts talons), plus belle montée sur un flanc de vallée et relongue traversée jusqu'à une petite falaise, site d'escalade. Au repos là si je me souviens bien personne ne parlait beaucoup. Il y a dans cette partie pas mal de route à faire, et si on se rapproche trop de la rivière on se retrouve sur des falaises d'une centaine de mètres qui la surplombent. Seul ça passe, à 15 ça le fera pas, donc là aussi faut pas mal chercher son chemin. Puis on traverse la rivière, montée tranquille de trente minutes à l'entrée de la Combe Noire, où il faudra trouver un bivouac. Pas facile, c'est pas large, ya des cailloux comme des maisons, c'est humide au fond, on dormira... mal  . Il y a la possibilité de monter sur le flanc opposé au pied de grandes falaises tout en haut d'une centaine de mètres. J'y suis monté plusieurs fois pour chercher une faille pour passer à travers ces falaises, pas trouvé: c'est très raide, 45°, en été il n'y a plus d'herbe qui tient, c'est de la terre et les pierres dégringolent des falaises. Mais c'est fun. . Le lendemain remontée de la combe Noire, pas le choix c'est un chemin, on va jusqu'au bout et là soit demi tour et retour sur Coindre et son barrage, soit on continue jusqu'à un autre barrage sur une troisième rivière, la Petite Rhue (vous suivez là?), mais ça double tranquille le temps de marche. On peut le faire en déposant les sacs à un certain endroit. A Coindre on rejoint la route et retour aux bagnoles par la route, 1h30 de marche je dirais, sur la route. Une autre solution serait d'éviter la route et de faire une vraie boucle en remontant encore plus jusqu'au barrage des Essarts sur la Grande Rhue. Mais là ça va être hard pour les guiboles.
. Il y a la possibilité de monter sur le flanc opposé au pied de grandes falaises tout en haut d'une centaine de mètres. J'y suis monté plusieurs fois pour chercher une faille pour passer à travers ces falaises, pas trouvé: c'est très raide, 45°, en été il n'y a plus d'herbe qui tient, c'est de la terre et les pierres dégringolent des falaises. Mais c'est fun. . Le lendemain remontée de la combe Noire, pas le choix c'est un chemin, on va jusqu'au bout et là soit demi tour et retour sur Coindre et son barrage, soit on continue jusqu'à un autre barrage sur une troisième rivière, la Petite Rhue (vous suivez là?), mais ça double tranquille le temps de marche. On peut le faire en déposant les sacs à un certain endroit. A Coindre on rejoint la route et retour aux bagnoles par la route, 1h30 de marche je dirais, sur la route. Une autre solution serait d'éviter la route et de faire une vraie boucle en remontant encore plus jusqu'au barrage des Essarts sur la Grande Rhue. Mais là ça va être hard pour les guiboles. 





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