Le froid arrive!! Quelques bonnes journées de boulot avec ma douce pour avancer l'extension de l'atelier... on a isolé les murs et le plafond, et habillé tout ça... Reste les portes à faire, un peu d'électricité, mettre le poêle en place réaménager tout ça, et pour la première fois de ma vie de coutelier je travaillerais au chaud l'hiver!! fini les bacs d'eau gelés sous le back.… La partie forge et débit de bois restera dans l'atelier existant, et toute la partie montage se fera dans l'extension...
on n'a pas le cul sorti des ronces.…. heureusement elles donnent des mûres.…
si on compare à tes débuts tu atteins le stade industriel ! pis p’t’être tu commences à te faire vieux ( chauffage toussa…)
Je ne perds jamais, quand je ne gagne pas, j'apprends Heureux soient les fêlés, car ils laissent passer la lumière y’a des gens dans leur tête y’a pas l’autoroute, y’a que des péages, ils passent leur vie à klaxonner
C'est top Thomas, ce sera quand même plus confort et plus lumineux que l'espace ouvert aux 4 vents. Pour les puits de lumière, tu vas laisser tel quel avec la "tôle" transparente ( je connais pas le nom) ou tu vas doubler en rajoutant un plexis au niveau du plafond intérieur, histoire d'éviter une déperdition importante de chaleur?
Et bravo pour l'article dans LPDC, c'est 100 fois mérité
merci Stéphane! pour l'instant ça va rester comme ça les tôles transparentes... je pense que le poêle est suffisamment balaise pour chauffer ce volume... on avisera si ça ne le fait pas...
@JP: je ne dirais pas industriel, je dirais que j'atteins un stade confort de travail, et j'en suis très heureux!!
on n'a pas le cul sorti des ronces.…. heureusement elles donnent des mûres.…
Bonjour, un Huasito de terminé, inspiré d'un modèle régional du pays Huaso au Chili... 10cm de lame en 135Cr3 pour 21,5cm ouvert, cran forcé, ressort en XC75, platines et rosettes laiton, plaquettes en corne de zébu. réalisé sur commande.
on n'a pas le cul sorti des ronces.…. heureusement elles donnent des mûres.…
joli !!! et y’a du progrès, apparemment, pour une fois tu ne t’es pas coupé
Je ne perds jamais, quand je ne gagne pas, j'apprends Heureux soient les fêlés, car ils laissent passer la lumière y’a des gens dans leur tête y’a pas l’autoroute, y’a que des péages, ils passent leur vie à klaxonner
Cela me fait penser à un conte de Hans Christian Andersen. Le petit Huaso, source d'inspiration, serait plutôt du genre "vilain petit canard". Alors qu'avec son interprétation, le grand Huasito, devient un " signe majestueux".
Par moment j'aimerai me sentir aussi affuté que certains de mes couteaux!