par Alain VALETTE » 20 Jan 2008 16:51
bonjour a tous,
Pour les courageux qui on tentés la première semaine, je vous livre la suite des aventures...un peu plus facile.…
donc, meme adresse pour les réponses ...regle du jeux en page 1
OPTION possible.……..
pour ceux qui n'ont pas eu le temps de participer en 1er semaine, étant donné que le Chap 2 ne donne pas les réponses au 1, vous pouvez tenter le coup.
les réponses sont stockés avec la date et heure d'arrivée, aucun probleme pour faire le classement.….
bonne chance
……………
Un long retour...
En raison de notre avance, nous avions eu deux jours de liberté avant d’embarquer sur « Le Massiac ».
Accompagné d’un interprète, je les mettais à profit pour parcourir les rues, découvrir l’artisanat, curieux de tout ce qui était en rapport avec le travail des métaux et autres matériaux.
Ce pays était un véritable carrefour de civilisations, j’y appris qu’un peuple insulaire lointain vouait un véritable culte à une arme exceptionnelle dotée disait on, de pouvoirs magiques (à tel point que lors d’un mariage, le marié pouvait se faire représenter par son arme en cas d’absence…), doté d'une lame a nulle autre pareille, transmise de génération en génération. Je notais ces histoires dans mon cahier, à la suite de mille autres anecdotes.
Au matin du deuxième jour, un marchand Indou vint me présenter deux curieux objets, poignards, dagues, couteaux, que sais-je ?…. Le troc étant de rigueur, ma curiosité prenant le dessus, je procédais au jeu du marchandage aidé par mon interprète…
Le premier poignard était d’origine essentiellement Marathe, la lame avait une double courbure inversée et le pommeau avait la particularité d’être en forme de grandes moustaches. Il n’y avait aucune autre ethnie qui l’utilisait.
L’autre, à la poignée, plus étrange encore, toute en métal, était damasquinée d’or. Sa lame de forme triangulaire, protégée par une coque dont l’ouverture, commandée par un mécanisme secret, laissait apparaître un redoutable double tranchant.
Grâce à l’habileté de mon interprète, le marchand se laissa tenter par une montre….je ne regrettais pas cet échange….
Quelques heures plus tard, profitant d’une météo favorable, nous quittions notre point d’ancrage.
Longeant les côtes, notre navire, lourdement chargé avançait lentement. Quelques semaines seulement après notre départ, nous fûmes rattrapés par un boutre qui semblait en difficulté. Le capitaine de cette embarcation nous demanda de l’aide pour soigner un passager blessé. La blessure était grave ; mes années d’apprentissage auprès de mon Maître et les instruments que j’avais emportés furent utiles.
Après quelques heures d’intervention, malgré la houle et l’inconfort de la cabine, il était hors de danger….En remerciement de mes efforts, le blessé m’offrit son bien le plus précieux, véritable symbole de liberté, de puissance virile, rehaussé d’argent et d’or… une pure merveille. Je n’avais pas sauvé la vie qu’à un simple passager : il était noble, c’était l’Emir de Bahreïn, 1er de la dynastie des Khalifa.
Après des mois de navigation, nous arrivâmes à Lorient, notre port d’attache. Aussitôt à terre je prenais la route pour PARIS avec bagages, échantillons et souvenirs…..nous étions déjà en 1768.
Mon Maître était toujours là, fidèle à son enclume et à ses expériences, il était ravi de mon retour et m’accueillit comme un fils. Satisfait des échantillons que je lui apportais, écoutant attentivement mes histoires et heureux de savoir que le gisement de ce pays lointain fournirait à l’artisanat français une matière de toute première qualité.
Il était au courant de la domination Anglaise dans ces contrées lointaines, et m’apprit que les Britanniques avaient damé le pion aux Français et fondé leur propre empire…tout leur réussissait.
Même dans le métier ; il m’informa que le "beau fini" de la Coutellerie Française était tributaire d’un produit anglais depuis des décennies, qu’il était temps de leur donner une leçon….. Avant même d’étudier les échantillons , profitant de ma présence, il se mit au travail… pendant des semaines, redoublant d’efforts et de peine, nous travaillâmes à l’élaboration d’une substance capable de nous émanciper de la suprématie anglaise….à force d’essais et d’expériences nous avions trouvé une méthode simple et peu onéreuse dont le résultat était identique au produit anglais. Les couteliers français étaient définitivement indépendants.
Le mois de juillet 1769 sonna notre victoire : l’Académie Royale des Sciences approuva cette découverte.
Voila la suite des questions relatives au second chapitre :
1. Quelle est le nom de cette arme dotée de pouvoirs magiques ?
2. Quel nom porte le premier objet échangé au marchand ?
3. Quel nom porte le second objet échangé au marchant ?
4. Quel est le nom de l’objet offert par l’Emir?
5. Quelle est cette découverte (moins facile) ?
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Alain VALETTE le 21 Jan 2008 01:34, édité 1 fois au total.